On pourrait dire “maison contemporaine”, mais ce serait oublier l’essentiel: ici, c’est la lumière qui meuble. Elle traverse les grandes baies, file du salon au jardin, s’arrête sur la terrasse, repart vers la piscine de 13 × 5 m (chauffée sur demande). On vit dedans-dehors sans cérémonie: salon TV quand on veut se taire, salon central quand on veut se parler, salle à manger quand on veut s’attarder. La longue table sous pergola met tout le monde d’accord: les meilleurs déjeuners sont ceux qu’on prolonge.
Quatre chambres, quatre atmosphères calmes; l’une en twin — les enfants adorent, les amis aussi. Le décor ne fait pas de bruit: zellige, tadelakt, bois. On dort portes-fenêtres entrouvertes, le jardin en parfum d’arrière-plan. Au réveil, Bab Atlas ne sonne pas la cloche: elle chuchote. Les golfs et “incontournables” sont à quelques minutes, mais on n’est pressé de rien — c’est l’un des privilèges du calme.
Le service, lui, sait disparaître sans s’absenter: ménage quotidien en coulisses, jardin et piscine entretenus, concierge joignable qui répond comme si tout était simple (parce que ça l’est). Et la table? Elle mène le jeu. Un chef peut signer le programme: pains maison, salades parfumées, tajines qui mijotent, poissons qui grillent, pâtisseries, fruits de saison — en demi-pension ou pension complète. Déjeuners légers au bord de l’eau, dîners aux bougies, goûters d’enfants, menus spécifiques sur demande.
Ajoutez ce que Marrakech fait de mieux sans que vous leviez le petit doigt: massages et soins, hammam, chauffeur privé, transferts aéroport, activités, green-fees. Villa Monica n’est pas une promesse de vacances; c’est la preuve par l’évidence qu’on peut tout avoir: la clarté, le calme, et la ville au bout du chemin.