Elle ne crie pas son luxe. Elle le chuchote.
Belya n’est pas une villa ostentatoire. C’est une maison d’architecte. Une de celles qu’on devine dessinée d’un seul trait, sans hésitation, par quelqu’un qui aime la lumière. Des lignes franches, un toit plat, du béton brut qui dialogue avec les palmiers. Elle pourrait être à Palm Springs. Elle est à dix minutes du centre de Marrakech.
Ici, on vit dehors, dedans, entre les deux. Les grandes baies vitrées s’effacent pour faire entrer le jardin. Et quel jardin. Un hectare entier, vivant, planté, pensé comme un paysage. Une ligne d’eau bleue le traverse : la piscine. Face à elle, l’Atlas. Presque irréel. Par temps clair, on croit pouvoir toucher la neige.
À l’intérieur, tout est fluide. Six chambres, chacune indépendante, sans ostentation. Du mobilier choisi, du confort juste. Pas de dorures. Pas de tapage. Le silence est là, rare, précieux.
Villa Belya est idéale pour celles et ceux qui savent. Qui cherchent autre chose qu’une “grande maison avec piscine”. Qui veulent un lieu, un vrai. Une villa qui a du fond, pas juste de la forme.